Includes glossary. Includes bibliographical references (pages 150-153).
Contents:
Première partie. Le cinéma ambulant en Afrique coloniale / Odile Goerg -- deuxième partie. Aventurier ... mais pas trop! / récit de Jean-Paul Sivadier ; annoté par Odile Goerg. Pt. 3. Un passeur malgré lui ? Le cinéma ambulant, un mode important de diffusion des images animées -- Le récit de Jean-Paul Sivadier, une source exceptionnelle -- Jean-Paul Sivadier avant le cinéma ambulant -- Enfance, adolescence (1929-1949) -- Tenter sa chance en Afrique coloniale, 1949-1956 -- Trois années de tournée de cinéma ambulant, 1956-1959 : entre Soudan français, Haute-Volta, Mauritanie et Sénégal -- Pt. 2. Aventurier... mais pas trop ! Récit de Jean-Paul Sivadier annoté par Odile Goerg -- La décision est prise (décembre 1955-mars 1956) -- Apprentissage et première tournée (mars juin1956) -- Entre deux tournées : réaménagement du camion CCA et arrivée de mon frère Jacques (juin-novembre 1956) -- La deuxième tournée (novembre 1956-juin 1957) -- "Denise la Tonkinoise", embarquée pour l'Afrique (octobre 1957) -- La troisième tournée, avec Denise (novembre 1957-mai 1958) -- Evelyne, l'âme-soeur trouvée (congés 1958) -- Départ pour Bamako et ultime tournée (novembre 1958-décembre 1959) -- Virée au Sénégal, rencontre avec le khalife de Touba et prouesses mécaniques (janvier-mai 1959) -- Enfin sédentaires à Bamako (juin 1959-mai 1960) mais comment se débarrasser du camion ? -- L'Histoire s'accélère : seul au Mali-Côte d'Ivoire pour fermer la boucle (août-octobre 1960) -- Pt. 3. Être entrepreneur de cinéma ambulant. Esquisse de bilan (Odile Goerg) -- Un métier rentable ? -- Un mode de vie -- Un passeur malgré lui ?
Summary:
Le cinéma ambulant connaît une vif essor après 1945 en Afrique, où ce loisir est plébiscité en ville mais aussi à la campagne. Des entrepreneurs privés assurent des séances qui attirent jeunes et vieux, hommes et femmes, musulmans ou chrétiens. Cet ouvrage présente un document exceptionnel, le récit des tournées de Jean-Paul Sivadier, entre 1956 à 1959, au Sénégal, en Haute-Volta, au Soudan français et en Mauritanie, complété par ses photographies prises sur le vif. Ils permettent aussi d'entrevoir la réalité humaine et économique d'une petite entreprise de cinéma à la fin de la période coloniale.
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