Amants, heureux amants... Célébration de cet acte d'amour gratuit qui glorifie les corps (cf. p. 55). François Charron s'attache à suivre l'ange "qui marche dans le fond du langage", à évoquer la vie simple et insaisissable (p. 13), cette terre qui "tourne au milieu d'un rêve" (p. 17) et cette "grâce de vivre" qui "fouille l'éternité de chaque jour" (p. 52). Une poésie édénique, sereine, qui ne cède que très rarement à la mièvrerie ou au sentimentalisme étroit. Recommandé.
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