Includes bibliographical references (pages 125-135) and index.
Contents:
La réaction des anciens prisonniers de guerre. Des témoins recevables, mais épars et inaudibles -- Avec la paix le silence -- Les prisonniers de la Grande Guerre dans l'entre-deux-guerres : les raisons d'un silence -- Les prisonniers ne sont pas des témoins -- Des éditeurs sur la retenue ? -- Un témoignage sans écho ? -- Fin des années vingt : un sujet peu évoqué et toujours controversé -- Des auteurs anciens combattants -- Des carrières bien distinctes -- L'accueil de la critique -- Axelle : un roman d'aventure ? -- Les Demi-Vivants : roman ou récit ? -- L a prière des captifs : te réalisme avant tout -- Un contexte différent : Capitaine Conan -- Captivité et prisonniers sous la plume des romanciers -- La langue des prisonniers -- L'argot : un langage spécifique aux poilus ? -- L'argot pour un mieux structurer le groupe -- Le cadre et les conditions de vie -- Le camp -- Le quotidien -- Portraits de groupes -- Les Russes -- Les Sénégalais -- L'ennemi -- Le landsturm -- L'officier allemand -- La femme de l'ennemi -- La mort -- Les camarades -- Noël -- Et la guerre? -- Une échappatoire inespérée : l'internement -- La fin, le rapatriement -- Les héros prisonniers -- Le choix des auteurs -- Comment devient-on prisonnier ? -- Quelle attitude adopter dans les camps ? -- Dumaine, le prisonnier résigné -- Lorin, le prisonnier révolté -- Erlane, le déserteur -- Le Men : un prisonnier attentiste et méfiant -- La réaction des anciens prisonniers de guerre.
Summary:
"Sur le site du centenaire de la Grande Guerre, à la page consacrée à l'image des prisonniers en France, l'auteur - anonyme - a écrit: 'Si de très nombreux romans paraissent très tôt pour évoquer la guerre, à notre connaissance un seul roman décrit la captivité. Il s'agit d'Axelle de Pierre Benoit; le livre est publié en 1928, mais reste marginal.' Tout cela est vrai et faux à la fois, le prisonnier apparaît bien dans la littérature d'après-guerre dans d'autres ouvrages signés par des auteurs reconnus, mais qui restent peu nombreux. Reprenant le contexte culturel, l'auteur s'interroge sur les raisons de ce silence et retrace l'image du captif telle qu'elle apparaît sous la plume des romanciers. La fiction rend-elle justice à ceux qui furent oubliés dans leur temps?"--Page 4 of cover.
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